La Xbox One S : une version améliorée de la Xbox One

Le projet de fabrication de la Xbox One S qui est une version améliorée de la Xbox One a été présenté lors de l’Electronic Entertainement Expo (E3) à Los Angeles en 2016. Transformée notamment au niveau de la taille, elle est nettement plus petite que son ainée. Cet aspect compact vous permet de la transporter plus facilement et vous fait économiser de la place sur votre table TV.

Une console aux performances améliorées

Côté performances, la Xbox One S est dotée d’un processeur AMD 8 cœurs de 1,75 GHz. Cette caractéristique lui permet de traiter plus rapidement les informations transmises par la carte mère et ainsi supporter d’être allumé pendant une longue période sans risque de surchauffe. Grâce au RAM de 8 Go dont ses concepteurs l’ont dotée, la fluidité des jeux est garantie. Il vous est en plus possible d’insérer les jeux les plus volumineux du moment dans son disque dur qui peut atteindre les 2To. Sa réelle particularité par rapport à la Xbox One reste la fréquence du client de partage de fichiers (GPU) qui a été ramené de 853 MHz à 914 Mhz. Cette nouvelle console est aussi en mesure d’économiser de l’énergie tout en gardant ses performances intactes. Ceci est possible grâce au gravage optimisé du processeur.

Des défauts que le constructeur ferait bien de corriger

Cette console qui a des atouts susceptibles de séduire le plus aguerri des gamers n’est pourtant pas sans inconvénients. En la testant, nous avons pu constater des failles au niveau du ventilateur que l’on peut qualifier de bas de gamme à cause du bruit infernal qu’il émet en tournant. La déception était aussi au rendez-vous au niveau du Blu-ray 4K car si initialement vous avez prévu d’acheter cette console pour lire des vidéos en 4K, le lecteur de la Xbox One S n’est pas en mesure de lancer la lecture. L’image se fige sur un écran de chargement blanc et bleu et sans suite. Vous ne rencontrerez toutefois pas ce souci avec un Blu-ray au simple format HD et ce n’est pas fini. Les défauts s’enchainent avec la manette d’une qualité largement inférieure à celle de son prédécesseur.

Le design est tout simplement impeccable

NOTRE NOTE :

Au niveau du design par contre, nous avons été pleinement séduits par la cure d’amaigrissement réalisée par ses concepteurs par rapport à la version précédente sortie en 2013. Enveloppée dans un plastique blanc mât d’une excellente qualité, la console a tout pour plaire. L’allumage quant-à-lui est assuré par un bouton plus pratique placé sur sa face avant. Il vous est désormais possible de synchroniser votre manette sans fil par l’intermédiaire du dispositif de concordance qui a été ramené à l’avant. Le port USB sur la façade permet en plus de faciliter le raccordement de la console avec d’autres périphériques. L’arrière quant-à-elle est composée d’une sortie/entrée HDMI, de deux entrées USB 3.0, d’une sortie Ethernet et d’un port audio numérique. Elle admet même une sortie infrarouge. En ce qui concerne le kinect, il ne peut être installé que via un adaptateur que les constructeurs ont choisi de vendre séparément de l’ensemble. Pour tout dire, ce test a été sujet à beaucoup de rebondissements mais le résultat reste les mêmes. Malgré les multiples inconvénients que nous avons rencontrés, nous accordons à la Xbox One S la note finale de 8.